Depuis la loi SRU de 2000 (qui introduisait le Renouvellement Urbain comme un point clé de la planification) et surtout la loi ALUR de 2015 qui oblige à quantifier la consommation foncière, on pensait que le phénomène d'artificialisation des sols était sinon régulé, du moins passé de mode.
Un article de l'Institut de recherche pour le développement durable et les relations internationales vient éclairer le sujet.
Particulièrement pertinent en cette période de révision de notre charte...
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